Les (bonnes) questions à se poser
Une démarche participative à préparer

Les (bonnes) questions à se poser

Avoir du temps

Présenter un projet, mobiliser tous les publics, donner la possibilité à chacun de s’exprimer, prend plusieurs semaines. Une participation citoyenne ne se limite pas à l’organisation d’une réunion publique vite fait… et donc mal fait.

Proposer des scénarios évolutifs

La participation citoyenne doit présenter tout de suite les thèmes en débat, qui permettront de prendre la « meilleure décision ». Il faut dire ce qui n’est pas arrêté et qui peut/doit évoluer au fil des échanges.

Accepter de prendre des risques

Concerter, c’est informer, présenter et discuter un projet. C’est souvent l’occasion pour une opposition de se regrouper, de se fédérer et de profiter de la tribune qui va être proposée durant cette phase. 

Diversifier les modes d’information et d’expression

La meilleure façon de montrer son engagement participatif est d’utiliser des moyens diversifiés, capables de toucher tous les publics concernés et de leur donner véritablement la parole, en structurant le débat autour de questions qui ne visent pas à fermer la discussion mais à la rendre la plus productive possible.

Prévoir un budget

Organisation des temps participatifs, réalisation de supports, actions numériques, analyse et synthèse des contributions de chacun… Tout cela prend du temps et a un coût qu’il faut anticiper.